ZOOM SUR MAYLIS DE KERANGAL, auteure de Réparer les vivants

Le 2 janvier 2014, Réparer les vivants paraissait chez Verticales,
Le 24 janvier, je remettais à Maylis de Kerangal une note d’intention suite au travail d’adaptation que j’avais immédiatement entrepris après l’émotion et le coup de cœur de la lecture,
Le 14 mars, je terminais une première version de cette adaptation au théâtre pour un acteur. Ce roman est devenu par la suite un des grands succès critique et public de l’année

Il a reçu de nombreux prix dont :

Prix du Roman des Étudiants France Culture – Télérama Grand Prix RTL – Lire
Prix Orange du Livre 2014
Prix Littéraire Charles Brisset

Prix Relay des Voyageurs
Prix Paris Diderot – Esprits libres
Prix des Lecteurs 2014 L’Express – BFMTV Élu meilleur roman français 2014 par Lire

LA PRESSE EN PARLE

« Le titre de ce roman, Réparer les vivants, vient d’un dialogue du Platonov de Tchekhov. “– Que faire, Nicolas? – Enterrer les morts et réparer les vivants”. Dans ce roman magnifique, l’écrivaine ne sépare jamais la technique de la poésie, la quotidienneté de la métaphysique ni l’intimité blessée de l’efficacité collective. Son écriture parcourt tous les registres de la langue pour dire comment dans une même expérience pensées et sensations se fracassent. »
Le Monde des livres

« Dès la rentrée littéraire de janvier, nous avions été transportés par ce souffle, cet art de prendre à bras-le-corps un sujet fragile et essentiel (…) ce livre que nous disions promis à circuler de corps en corps, porteur d’une grande force de vie. »
Télérama

« La scène d’ouverture, époustouflante, décrit le jour qui se lève sur la plage et les jeunes gens qui entrent dans l’eau, le cœur battant de terreur et de désir, puis se dressent, minuscules, sur “ l’onde venue de l’océan,archaïqueetparfaite”. »
Le Figaro

« Avec Réparer les vivants, Maylis de Kerangal signe un magnifique roman autour du don d’organes, où vie et mort sont intimement liées. Ce n’est certainement pas le sujet littéraire le plus aisé, mais c’est un très beau sujet. Un roman impressionnant de tenue et de souffle, de beauté aussi, tandis qu’elle ne s’est autorisé aucune facilité.»
Politis

« Un livre dont on ne sort pas indemne. Il a un souffle, une musique, une profondeur qui vous poursuivent longtemps après avoir tourné la dernière page. »
Libération

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